En 2006, je réalise un ancien rêve: faire de la sculpture.

Je rencontre un professeur extraordinaire, Eugène N’Sondé qui m’a appris quasiment tout ce que je sais aujourd’hui.

Son respect, sa pédagogie, sa gentillesse et sa patience expliquent toute l’admiration que j’ai pour lui en tant que professeur. Ses oeuvres qui allient puissance et émotion ne peuvent que susciter l’admiration.

Puis la rencontre avec Jean Pisa dont la curiosité, la culture et la générosité dans le partage des techniques a poursuivi mon apprentissage qui est loin d’être terminé.

Né en 1988, Hugo Terracol est un artiste peintre français. Il débute la peinture à l’âge de 6 ans. Sa rencontre avec Zao Wou-Ki fut déterminante dans sa carrière, le grand maître chinois l’invitant dans son atelier parisien pour dialoguer avec lui de peinture, d’harmonie, de composition, du souffle pictural, etc.

La peinture d’Hugo Terracol questionne les éléments immatériels et invisibles de la nature : la lumière, l’air, l’espace, les Souffles, l’énergie vitale, etc. En héritier de l’art chinois, ses œuvres explorent la profondeur de l’espace pictural par l’interpénétration des plans sans limite.

À tout juste 21 ans, il démarre ses premières collaborations avec des galeries d’art, séduites par la force et la maturité de son travail. Très tôt, il est exposé aux côtés de grands artistes, comme Olivier Debré et Georges Mathieu, à la Galerie FPL. Il est le lauréat 2022 du Grand Prix Jean-Roch Sauer / Raphaël / Sennelier attribué par la Fondation Taylor, récompensant « un peintre qui s’illustre par la qualité et la maîtrise de sa technique ».

Hugo Terracol est membre de la Fondation Taylor, du Conseil National Français des Arts Plastiques, et de l’ADAGP.

Les limites de l’espace

J’observe et j’interroge les surfaces sur le plan iconique, formel, plastique. J’invite le regardeur à plusieurs sens de lecture. Le regard déambule à travers le collage numérique à la frontière des ombres, de la transparence, révélant de nouveaux espaces. Les enjeux du tangible et du numérique questionnent alors l’accès à l’œuvre. La question de spatialité est mise en « jeu ». L’espace plonge le spectateur dans cette dimension haptique trompeuse.

Je crée mes tableaux depuis mon ordinateur, ma catégorie est celle de l’art digital. L’univers s’apparente à du collage, tout est dessiné à la main depuis ma tablette graphique et mon stylet. Se mêlent alors deux univers, celui du tangible et du numérique.

Jean-Marc AMBROSINI est un photographe d’art, collagiste et auteur établi à Paris.

Sa démarche artistique intitulée « créations et confluences » consiste à explorer via le numérique les frontières entre la photographie et d’autres disciplines comme le dessin, la peinture, les collages ou le détournement d’objets afin de les confondre en un rendu graphique partagé. Elle se situe en effet au carrefour de nombreuses voies : impressionnisme, surréalisme, Pop-art, BD, estampes japonaises, esthétisme du cinéma des années 50-60.

Il a édité un ouvrage en 2022 intitulé « Je te vois ! » où il associe ses textes à ses photographies pour nous permettre de passer de l’autre côté de l’objectif tout en nous laissant la liberté de les interpréter selon notre sensibilité.

Il édite une Newsletter trimestrielle ! Zoume ! publiée sur son site et son compte Instagram

Il reçoit sur rdv à L’ATELIEU, 89 bis rue de Charenton 75012 Paris

Peintre et photographe d’origine iranienne, Shay  Miremont réside en France depuis 1978 et expose sa peinture dans les Salons et les galeries parisiennes.

Sous forme abstraite ou figurative, Shay nous rappelle le passé culturel persan mais ses œuvres sont bien éloignées de l’Orientalisme romantique du 19ème : elles nous entraînent dans l’univers de la route de la soie et de la tapisserie mais cachent, dans un cadre chatoyant, des mystères et des révoltes muettes, celles des femmes d’aujourd’hui, fondues dans un décor fait d’éléments traditionnels dont elles émergent avec courage et dignité.

Sur ses toiles, les motifs des mosaïques d’Ispahan font chanter leurs couleurs, les fameux tapis ravivent et recouvrent les compositions abstraites, les calligraphies sacrées « Koufis » animent et exaltent la spiritualité de la poésie persane.

IRIS VARGAS

Née le 14 juillet 1953 à San Cristobal Andes Vénézuéliennes

Formation

Etudes d’Anthropologie et d’arts Plastiques

Ecole Nationale d’Art plastique Cristobal Rojas à Caracas de 1970 à 1978 avec

Celso Perez et Pascual Navarro à la torre de la prensa.

Université Central du Venezuela. Ecole de Sociologie et Anthropologie de 1973 à 1978.

Ecole Nationale des Beaux Art à Paris de 1979 à 1981.

Etudes de Restaurations de Monuments Historiques à Paris en 1989.

Arrivée à Paris à l’âge de 6 ans en 1956 ma vocation d’artiste s’est exprimée au milieu d’une famille en reconstruction grâce à l’influence d’un grand-père sculpteur sur bois. Enfant, j’enchaîne les ateliers créatifs et l’approche de l’art me devient très familière

Sculpteur depuis 25 ans , je suis un professeur qualifié,
récompensé au salon des artistes français.
Mon travail en tant que sculpteur est centré sur l’ animalier stylisé et le nu stylisé.
Je suis spécialiste en patine et en moulage élastomère en coque résine.
J’ai l’expérience de l’enseignement depuis 15 ans
Je dispense des cours de sculpture dans mon atelier ou je peux recevoir 5 personnes.
J’accompagne individuellement  les personnes débutantes ou confirmés et
leur fait découvrir le monde infini de la patine vinylique et gomme laque
( cuisson et matériel fourni)

Nina TESCAR est née en 1968 dans la petite ville de Falesti en Moldavie.

A 15 ans elle décide de rejoindre la capitale de Moldavie, Chisinau, pour commencer des

études d’arts plastiques au lycée C. Repin , section peinture . Elle obtient son diplôme au

bout de 4 ans en 1997.

Elle arrive en France en 1997, mène plusieurs métiers pour assurer sa subsistance, mais en

même temps elle fait du porte à porte auprès de plusieurs galeries afin d’exposer ses

œuvres .Elle cherche désespérément à changer cette situation, elle s’efforce de s’engager

encore plus dans le métier de l’art . . . . . .