LABRUNE
Sculpteure
Passionnée par le monde sous–marin, par la place de la femme et les rapports humains /machines dans les mondes actuel et futur, consciente des menaces qui planent sur notre planète, j‘essaye de transmettre mes messages et mes prises de position dans un style plutôt apparenté au surréalisme.
Dans mes thèmes, je travaille sur la mer (Rêveries océanes), les détournements d’objets courants comme les escarpins (question de jambes), les clubs, tees et balles de golf (passion Golf), le fantastique dans le quotidien, les villes impossibles dans le futur possible (Villes), la vie citadine (Schlack attitude) ainsi que sur le thème Cyborgs et humains (Bustes et mannequins). Mon challenge provoquer : l’émotion et les questionnements par des messages et des mots cachés, par les jeux de formes, d’ombres et de lumière.
Photographe autodidacte, je suis Consultante en Développement Professionnel, métier que j’exerce d’ailleurs à plein temps. Mon appareil photo est comme une extension de moi-même, me permettant de capturer la beauté et la singularité de chaque instant
J’aime particulièrement photographier des scènes de la vie quotidienne, les paysages urbains ou naturels, les visages des gens en mode portrait, les moments de joie et de bonheur. La vie tout simplement.
Mon approche est personnelle, elle est basée sur ma sensibilité, mon ressenti, l’instant présent ce qui me permet de créer des photos à mon image ‘Authentique’
Pour moi la photographie est une passion qui me permet d’exprimer ma créativité, de développer ma curiosité et d’explorer notre monde de manière simple et personnelle, je suis convaincue que la photographie est un moyen puissant de raconter une histoire et de capturer des moments uniques qui resteront à jamais gravés dans notre mémoire.
JFL est né à Lille en 1975. Il a suivi une formation généraliste en arts plastiques avant de développer son style ‘entre figuration abstraite et abstraction réaliste, toujours en circonvolutions linéaires’.
Ses toiles se caractérisent par des compositions structurées. Il s’inspire des lignes directrices rectilignes et courbes qu’il entrecroise et prolonge pour dessiner des formes géométriques. Il joue ensuite avec les couleurs et les oppositions de lumière pour donner une impression de mouvement et faire vibrer la toile.
Il travaille avec une palette de couleurs maîtrisée, une touche délicate et précise et peu de matière pour laisser visible la trame de la toile. Les couleurs semblent ainsi évoluer selon l’exposition du tableau ou le point de vue de son observateur.
L’œuvre de Patrick Chanéac est le regard harmonieusement coloré d’un poète empreint de pédagogie sur le monde. Ses sculptures, comme ses tableaux, demandent au spectateur une participation active pour trouver une des multiples entrées possibles, pour s’approprier son univers, pour atteindre le point d’équilibre…

Formes, contours, volumes, esquisse, géométrie, tracé : ces mots ont toujours eu une résonance familière pour Vincent Faus. Au-delà du simple badinage, il manifeste un réel intérêt pour le dessin depuis toujours : ce n’est pas une coïncidence si Vincent se retrouve dans l’univers de l’édition, de la publicité en tant qu’infographiste, dessinateur industriel. Pour autant, même s’il aime tutoyer les courbes et les couleurs, Vincent n’a jamais dépassé les frontières de la création artistique, même si parfois, l’idée d’aller au-delà des figures imposées lui a souvent effleuré l’esprit.
Sans aucune idée préconçue, sans quête particulière sinon celle de satisfaire une envie, Vincent se lance dans une aventure qui semble très vite familière et addictive. Il compose selon son propre vibrato, recourant aux techniques, aux outils qu’il maîtrise peu à peu au gré de ses cours de Beaux-arts, mais sans référent ; il improvise, invente et retranscrit sur la toile ses ressentis, ses observations, ses questionnements et nous livre sa vérité. Il avance avec sa toile, ne s’impose aucun objectif. Instinctivement, il sent que sa toile est terminée, lorsque l’ensemble lui semble cohérent. Vincent travaille souvent sur différents sujets en même temps, son imagination passant d’un chevalet à l’autre comme bon lui semble, au gré de son inspiration. Cette dernière est le fruit d’un kaléidoscope, en l’occurrence, une suite d’impressions, de sensations vives et variées.
Estelle Zuber participe à de nombreux salons dont le Salon des Artistes Français au Grand Palais et le Salon d’Automne ; des expositions collectives : le Lavoir à Carrières-surSeine en 2019 et l’exposition Passage à Louveciennes avec l’Association Vigée Le Brun en 2022 ; des expositions personnelles : au Centre Bercy en 2018, au SEL à Sèvres en 2019, et au Pavillon Corot à Port-Marly en 2021.
Prix Taylor au Salon d’Automne en 2017, médaille de bronze aux Artistes Français en 2023, prix du Salon à Versailles et à Sèvres en 2019…
Elle a reçu de nombreux prix.
L’ombre, la lumière, la matière…Voilà les 3 mots principaux qui me guident dans mon travail. Après un bachelor chez Esmod et une formation aux ateliers des Beaux-arts de Paris, mes sujets de prédilections se tournent naturellement vers des silhouettes rencontrées au détour d’un chemin. Une fois le sujet cadré, rien n’est figé, mon seul but étant d’accrocher l’œil en soulignant nos codes vestimentaires et les différentes matières. Cette matière je la trouve également dans la faune, en travaillant la rugosité de la peau, la masse d’un pelage ou la finesse d’un plumage.
Le mouvement et l’attitude font parti de mon voyage pictural, m’évader dans une atmosphère, sans connaitre la destination finale.
La peinture c’est la liberté accompagnée d’un brin de mystère.
Sophie Gassmann
Auteur Photographe
Démarche artistique
Quelque soit l’univers dans lequel je travaille, culinaire, lifestyle ou reportage, ma vision va
s’attacher à réaliser des photographies graphiques et épurées avec une recherche de lignes et de formes donnant une structure à l’image, un sens de lecture spécifique.
J’aime mettre en avant le détail, et offrir un monde d’observation rapprochée.
J’affectionne particulièrement la matière, minérale ou végétale.