Artiste plasticienne depuis plus de 25 ans, je m’exprime par le biais de la photographie, la

sculpture (modelage et taille directe) et la peinture vibratoire.

Dans mes créations, je me laisse porter par mes ressentis et mes intuitions.

Les atmosphères zen et oniriques, les jeux d’ombres et de lumières, l’architecture et les couples sacrés sont autant de sujets qui me touchent et que j’aime introduire dans mon travail.

J’aime montrer ce qui me touche et la beauté ou la sérénité que je perçois autour de moi.

Ici, les photos présentées s’axent autour du thème des vitraux.

Nourrie par la transmission, je propose plusieurs ateliers : bases techniques de la prise de vue, peinture intuitive, initiation au modelage.

Prenons des chemins où l’imagination met en scène des paysages intériorisés, construits et équilibrés. Au travers de formes géométriques, permettons-nous de ressentir autant que de penser.

Français né en 1963, j’ai d’abord été ingénieur avant de faire de la peinture une activité dominante à côté d’une activité d’enseignant. Emporté à mes débuts par les impressionnistes puis Kandinsky ou Estève, devenu plus sensible à Mondrian et Poliakoff, sensible aux œuvres de Bridget Riley et Aurélie Nemours, je consacre depuis plus de 20 ans l’essentiel de mes recherches à l’abstraction, géométrique pour l’essentiel.

Claire Hur de Sacy est née à Boulogne Billancourt en 1964.

Elle est diplômée d’ergothérapie, manière de lier la thérapie et l’art.

Elle suit les cours d’art plastique Martenot dont elle est diplômée en 2000.

Elle partage son activité entre l’enseignement artistique et son propre

Création.

Elle a beaucoup de plaisir à travailler la matière, à superposer les couches pour créer une profondeur. Il y a une confrontation entre la rigidité des éléments géométriques et les effets de transparence. Les sujets sont épurés, suggérés pour solliciter l’imaginaire.

Je suis une artiste multi-facette, j’aime m’exprimer de plein de façons différentes !

Sculpter en retirant de la matière me rend heureuse : j’aime donner une forme à l’énergie qui me traverse. Je ne sais pas toujours ce qui va surgir…C’est la surprise !

Sima Rad est une peintre née en 1967 à Téhéran (Iran).

En 2002, elle obtient sa M.A., Recherche en art, Université des arts, de Téhéran.

Il vit désormais à Téhéran où il partage son temps entre la peinture et l’ethnologie des arts, ainsi que ses multiples expositions.

Daniel   OLIVIER, né en 1950 à Calais, France, peint et dessine  depuis  plus de cinquante cinq ans.

De formation figurative, académique, c’est un peintre professionnel. Il est membre de l’ADAGP, de la Fondation Taylor,  de Mondial Art Academia, du groupe Maxi-réalistes de Dan Jacobson à Comparaisons, du Cercle des Artistes Européens, Sociétaire du Salon d’Automne et du Salon des Artistes Français.

Il vit et peint à AUVERS SUR OISE.

Née en 1957 et établie en région parisienne, l’artiste peintre autodidacte Leila Assmann se distingue par son style singulier. Attirée par l’Asie depuis son enfance, elle débute sa pratique artistique exclusivement à l’aquarelle et à l’encre de Chine.

La force du pastel réside, a priori, dans la couleur. Dans les dessins de Nicolas Neyman, elle se trouve donc ailleurs. En ne travaillant quasiment que le noir, il détourne le médium de sa puissance première, réduit sa palette au maximum et, paradoxalement, en supprimant la couleur apporte au pastel force et modernité. Ultime paradoxe : en s’approchant de la photographie, les dessins de Nicolas restent très éloignés de toute forme d’hyperréalisme. Le figuratif, c’est de la forme. La forme, c’est de l’abstrait. Oubliez alors le noir du dessin, regardez les blancs qui se forment. Et si, finalement, ces visages, ces corps, n’étaient pas si éloignés de l’abstraction ?

Nicolas Neyman est né en 1970. Il a travaillé au sein de l’Atelier éphémère, la friche artistique de Bois-Colombes, de son ouverture, en 2018, à sa fermeture, en 2023.

Le travail artistique de Marie-Hélène Allemandou est un écho à sa formation scientifique.
Découvrir de nouvelles techniques, de nouvelles matières, les tester puis les incorporer à
ses œuvres est sa façon de travailler.
Elle joue ainsi avec les textures et les rendus de matière .La technique de l’estampe permet
un rendu velouté . Le collage apporte une autre dimension.
L’oeuvre “kagga kamma” s’inscrit dans une série de tableaux sur le voyage, celui-ci en
Afrique du Sud. Ses couleurs vives telles que le rouge, le pourpre, ocre, jaune épicée nous
renvoie vers une lumière, une énergie que l’on peut puiser dans les rochers de cette région
le Cederberg, On y trouve aussi des références aux peintures rupestres des premiers
habitants du bush.