La force du pastel réside, a priori, dans la couleur. Dans les dessins de Nicolas Neyman, elle se trouve donc ailleurs. En ne travaillant quasiment que le noir, il détourne le médium de sa puissance première, réduit sa palette au maximum et, paradoxalement, en supprimant la couleur apporte au pastel force et modernité. Ultime paradoxe : en s’approchant de la photographie, les dessins de Nicolas restent très éloignés de toute forme d’hyperréalisme. Le figuratif, c’est de la forme. La forme, c’est de l’abstrait. Oubliez alors le noir du dessin, regardez les blancs qui se forment. Et si, finalement, ces visages, ces corps, n’étaient pas si éloignés de l’abstraction ?

Nicolas Neyman est né en 1970. Il a travaillé au sein de l’Atelier éphémère, la friche artistique de Bois-Colombes, de son ouverture, en 2018, à sa fermeture, en 2023.

Le travail artistique de Marie-Hélène Allemandou est un écho à sa formation scientifique.
Découvrir de nouvelles techniques, de nouvelles matières, les tester puis les incorporer à
ses œuvres est sa façon de travailler.
Elle joue ainsi avec les textures et les rendus de matière .La technique de l’estampe permet
un rendu velouté . Le collage apporte une autre dimension.
L’oeuvre “kagga kamma” s’inscrit dans une série de tableaux sur le voyage, celui-ci en
Afrique du Sud. Ses couleurs vives telles que le rouge, le pourpre, ocre, jaune épicée nous
renvoie vers une lumière, une énergie que l’on peut puiser dans les rochers de cette région
le Cederberg, On y trouve aussi des références aux peintures rupestres des premiers
habitants du bush.

Artiste peintre et conférencière en Histoire de l’Art, Virginie Delmas alimente sa capacité à s’émerveiller avec ses voyages, ses rencontres ainsi que sa fréquentation assidue des musées.
Virginie a toujours été attirée par l’art et les couleurs, et a découvert très jeune l’univers des musées et des mouvements artistiques.
Après des études à l’EM Lyon Business School, c’est donc tout naturellement qu’elle reprend le chemin de l’art en se formant dans les cours pour adultes de l’École nationale supérieure de Dijon (ENSD), et au CEHA (Centre d’Etude l’Histoire de l’Art), puis dans l’atelier d’Hélène Legrand, à Saint-Germain-en-Laye. Sa formation s’est enrichie en techniques de gravure à la Heatherley School of Fine Arts (Londres) et d’estampes japonaises, auprès de Rebecca Salter à la Royal Academy London.
Les œuvres de Virginie Delmas sont régulièrement exposées et font partie de collections d’Art privées en France, en Angleterre et aux Etats-Unis.

Après plusieurs expériences dans le monde de l’image dans le domaine de la communication et de l’édition Hervé a eu envie d’écrire ses propres histoires en assemblant, mixant et recomposant des images (photos, peinture, éléments graphiques…) numériquement.

Rémi Segalas est né en 1989 à Paris 14e, il a grandi entre la Sologne et le Béarn. Il est entré en école d’Arts Graphiques en 2009 à Blois. C’est à l’ ETIC, dirigée par Cathy Beauvallet, que le peintre a appris auprès d’illustrateurs et de graphistes édités, les différentes techniques du dessin académique, de peinture et illustration. Après quatre années passées par la suite, cette fois à Toulouse, entré à l’école des Beaux-Arts puis formé en design textile, Rémi Segalas remonte à la capitale pour travailler auprès de jeunes créateurs de mode. À ce jour, il se consacre complètement à sa peinture et présente son travail lors d’expositions personnelles ou en collectif, et sur différents salons parisiens réputés. Il reçoit une distinction au Salon des Artistes Français en 2022, puis le prix spécial du salon 2024 au Salon du Dessin & Peinture à l’Eau à Paris.

Photographe autodidacte, je deviens professionnel grâce à ma passion pour cet art captivant. Mon parcours atypique et mon amour pour les arts m’a permis d’explorer les différents aspects de la prise de vue. Spécialisé dans la photographie de portraits, j’accompagne des touristes à travers les rues pittoresques de Paris en capturant des moments uniques et immortalisant leurs souvenirs. 

Isabelle Panélas Huard dite Isabelle Huard commence sa carrière artistique en 1999. Elle fréquente alors l’atelier de l’ADAC de Paris, dans la section modèle vivant. Deux ans plus tard, elle fait sa première exposition au Festival européen de la sculpture avenue Georges V à Paris.